Callista resta de longues heures à établir l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait un contact. Pourtant, la mer demeurait coriace, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait disparu, et avec lui, la seule https://jolie-voyance31864.onesmablog.com/la-donnée-des-marées-74452115