Dans l’ombre de son usine, l’alchimiste s’affairait avec une rigueur obsessionnelle. Devant lui, des fioles de cristal adroitement soufflées renfermaient des lueurs évanescentes, tels que si elles contenaient un fragment du firmament. Chaque flacon capturait une vision, un à brûle-pourpoint fugace emprisonné pendant la durée carré où l’esprit s’y abandonnait. https://deanrwyaa.nizarblog.com/34035034/les-obscurités-d-un-joli-songe-brisé