La gare était plongée dans une brume dense, un rideau épais qui absorbait les sons et les lumières artificielles du quai. L’horloge suspendue au-dessus de une passerelle indiquait minuit, l’heure exacte du départ du train. Le passager se tenait ferme, optant pour l’immense poste de travail d’acier obscur qui sifflait https://garrettfxitc.myparisblog.com/34451206/les-ombrages-du-tracas