Les nuits dans le sanctuaire devinrent plus longues, plus lourdes de silences entre les murmures. Itzamna, fidèle à son routine, attendait que l’obsidienne parle à neuf. La joyau noire semblait absorber l'éclairage de lune, vibrer marqué par la pression du vent, et même, sans informer, elle résonnait de cette voix https://ericklerck.blogolenta.com/30843992/le-bouquet-sans-suspicion