Sur les flancs volcaniques de Thronos, la végétation persistait, défiant toute esprit botanique. Les fleurs toxiques continuaient de braver au fil des semaines, chacune porteur d’un rutilance intérieur, inapparent mais ressenti. Les habitants poursuivaient leurs cueillettes à l’aube, préférant les pétales en fonction de leur forme, avec leur inclinaison ou https://emilianowrsnz.ageeksblog.com/32936176/les-pétales-du-pluie