Chaque matin, avant l’arrivée du naturel visiteur, la guérisseuse descendait dans l’ossuaire en calme. Le sol était extraordinairement flegmatique, même marqué par les chaleurs écrasantes de la saison. Là, prêts étroitement sur des dalles brisées, les crânes l’attendaient. Elle ne les touchait jamais sans un penchant de dépuration, en intégrant https://lauriana18494.ampedpages.com/les-restes-qui-souhaitent-61149119