Chaque soir, Liora ravivait le pyrotechnie dans l’âtre orbite au noyau de son fabrique. Elle y jetait les fragments de cuivre en vacarme, donnant les besoins danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un habitude. C’était une souffle lente, une habituation apparue d’un fait familial répété sans cesse. https://tysonfyocr.like-blogs.com/34003168/la-matière-qui-répond